Nicolas39 - Pêche à la mouche

La pêche à la mouche sur le blog de Nicolas Germain, un Jurassien amoureux de sa rivière, la Haute Rivière d'Ain.
Centre de pêche en Bosnie.

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Gestion piscicole

Les actions menées sur le terrain et infos diverses sur le monde complexe de la gestion halieutique

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mercredi 7 mai 2025

Dans l'indifférence générale.

J'ai souvent parlé du sujet ici mais ma facture d'assainissement arrivée ces jours m'a donné l'envie de remettre le couvert tant la situation reste inadmissible. Oui, une facture qui s'élève à plusieurs centaines d'euros pour un service qui s'avère depuis de nombreuses années complètement déficient. C'est un sujet connu de tous, que cela soit les services concernés, les élus communaux, les élus de la fédération de pêche, les politiques locaux de tous bords. Notre AAPPMA l'a dénoncé de très nombreuses fois, il y a eu une action en justice et puis plus rien...La situation reste inchangée. Les citoyens paient plein pot alors que l'assainissement ne se fait pas pas correctement, que nos rejets domestiques rejoignent la rivière d'Ain en étant traités que très partiellement.

Le ruisseau de rejet après la lagune à une vingtaine de mètres de la rivière.

Mais qu'on se rassure, à part deux ou trois pêcheurs, cela ne gène personne. Surtout pas les élus, encore moins les baigneurs. Tout ce petit monde ne va pas tarder à patauger aux premières chaleurs quelques centaines de mètres en aval. Bon bain !

Quand on pense que même les truites n'y survivent pas, il faut avoir envie. Ou, et c'est le plus évident, ne pas être conscient de la situation. Oui, nos truites subissent aussi les excès de notre agriculture, bien sûr. Mais oublier notre assainissement parfois désastreux serait une grave erreur !

Poisson mourant photographié par mes soins ce week-end.

samedi 19 avril 2025

Ne pas se tromper de priorité.

Le coup d'eau est enfin arrivé sur la rivière d'Ain jurassienne. Les affluents ont vu également leurs débits augmenter de façon significative. À priori, c'est une très bonne nouvelle. On fera le constat dans quelques semaines. Oui, car ce n'était pas une crue au sens propre du terme, tout juste un coup d'eau. Pourtant, il est tombé plus de 70mm en 3 jours (mardi au jeudi) mais le déficit était tel que la rivière n'a pas gonflé outre mesure. Du coup, il faudra voir si ce coup d'eau n'a pas aussi emmener sa dose de polluants stockés sur ces 3-4 dernières semaines sèches ici et là. Sur mon constat du jour, les zones colmatées ont été en grande partie nettoyées. Bonne nouvelle. La température de l'eau qui était montée à 12 degrés le week-end dernier est redescendue à 9 degrés aujourd'hui. Bonne nouvelle.

Il était temps car le week-end dernier, les mauvaises nouvelles commençaient à pointer le bout de leur nez. J'ai eu quelques retours négatifs de poissons trouvés morts par les pêcheurs de Champagnole à Pont-du Navoy. Un ami a vu également 2 truites et un chevesne Mycosés sur Montigny. J'espère que la situation n'évoluera pas plus que ça.

En tous les cas, voilà un très bon rappel. La priorité à combattre pour l'avenir de la pêche, ce n'est pas la menace animaliste comme on a pu le lire en Une du journal local suite à l'AG de notre fédération départementale, mais belle et bien la qualité de l'eau. Comme depuis toujours en fait. Questionnez donc les pêcheurs qui prenaient des dizaines de truites sauvages sur des rivières jurassiennes comme la Sorne, le Suran, la Seille, la Valouse, la Serpentine et même la Cuisance...Ce ne sont pas les animalistes qui ont vidé les berges des pêcheurs jurassiens. Non, c'est uniquement la disparition progressive des truites sauvages suite à la dégradation de la qualité de l'eau. Le même phénomène est en cours sur les rivières plus connues du département comme l'Ain ou la Bienne. La conclusion sera identique !

En attendant, aujourd'hui, je n'ai pas vu de truite et encore moins de gobage, mais bien 3 harles bièvres et 1 cormoran...Encore un autre combat à mettre loin devant les animalistes.

Ombres et truites photographiés sur la haute rivière d'Ain la semaine dernière.

mercredi 12 mars 2025

Communication qui pause question.

La Fédération de Pêche du Jura a fait son choix en termes de communication pour cette ouverture de la pêche. Les images publiées sur les réseaux sociaux de laissent pas de place au doute. Cette panoplie de photos de poissons prélevés (dont des truites sauvages de la rivière d’Ain) a fait réagir et pas qu’un peu. Si l’on peut lire à travers les commentaires la déception et la colère de certains pêcheurs, j’ai également eu de nombreux retours dans un cercle plus privé avec des locaux extrêmement déçus pour ne pas dire plus.

Par cette prise de position, les choses deviennent très claires dorénavant sur les intentions de chacun. Les AAPPMA concernées et la Fédération du Jura semblent assumer pleinement le fait de prélever les derniers poissons sauvages de cette rivière d’Ain. Les critiques pleuvent sur nos dirigeants mondiaux qui vont au bout des ressources toujours plus vite sans tenir compte du changement climatique et des alertes de toutes parts mais finalement, nos dirigeants locaux pour la pêche ne font pas mieux. Ils iront jusqu’aux derniers poissons sauvages malgré des populations en chute libre et des atteintes extérieures toujours plus nocives sur cette rivière. C’est d’une tristesse.

Publication entière à voir sur Facebook.

De mon côté, je ne cherche plus à convaincre les gens. Chacun gère son territoire comme il l’entends après tout. Cependant, il faut assumer jusqu’au bout sans se cacher derrière des arguments plus bancals les uns que les autres. J’entends parfois des voisins en amont et en aval qui prennent notre linéaire en exemple comme quoi le fait de laisser la vie aux truites ne fonctionnait pas, que cela ne servait à rien, que c’était même partie prenante des causes de la baisse des populations…

Nous avons mis notre parcours sur sa totalité en No Kill pour freiner la baisse des populations, rien de plus. Nous possédons un linéaire sur la rivière d’Ain complètement dysfonctionnel. L’espoir pour améliorer la qualité de l’eau s’est envolé depuis longtemps malgré des preuves flagrantes d’excès en tout genre sur les points d’assainissements de Champagnole, Crotenay ou encore Montigny. Tous les témoignages, alertes ou autres plaintes n’ont jamais rien amélioré. L’eau chauffe toujours plus l’été. Les piscivores, harles et cormorans finissent le boulot. Bref, pour continuer à pêcher ces poissons sauvages, pas d’autres choix que de leur laisser la vie. On n’appuie pas sur la tête d’un homme en train de se noyer, on tente au minimum de le maintenir à flot.

Du coup, pourquoi se battre pour réhabiliter les tirs des cormorans s’il y a assez de truites sauvages pour continuer à les prélever. Les pêcheurs oui mais les oiseaux non ? Encore un argument bien bancal. Je souhaite de mon côté également pouvoir réguler les piscivores bien entendu mais pas pour bouffer les truites et les ombres à leur place ! Non, uniquement pour que les populations soient un peu plus solides parce qu’elles sont catastrophiquement basses.

Le pire dans tout ça c’est qu’on tous d’accord là-dessus. Les truites deviennent de plus en plus rares. Depuis 2015 tout s’est accéléré avec des étés caniculaires à répétition, c’est hallucinant les différences. Pas contre, à la fin, ben il y a les types qui vont aller manger dans les réserves sans se soucier du lendemain en se disant ben quand il y en a plus, il y en a plus. Et puis les autres, visiblement en minorité, qui tentent de se rationner au maximum en espérant que ça dure un peu plus longtemps sans non plus croire au père Noël.

Bref, tout ça pour dire que de remettre une truite à l'eau cela permet aussi à plusieurs pêcheurs d'avoir des émotions de joie et bien entendu, de laisser une chance à ces poissons de frayer un hiver de plus et même plusieurs ce qui n'est pas un luxe à la vue des géniteurs restant. La preuve encore, comme s'il en fallait une supplémentaire, avec ce poisson capturé par mon fils en juillet 2024 et mesuré à 60 centimètres. Poisson que j'ai eu l'immense privilège de croiser en ce week-end d'ouverture. Je l'ai pris avec la même nymphe d'ailleurs. Un peu plus long mais aussi plus maigre. Normal pour la saison. Mon fils a déjà revu cette truite deux jours après qui se nourrissait. Que sa vie soit encore longue !

Vous pouvez comparer les points, c'est bien le même poisson.

dimanche 9 mars 2025

Pollution des rivières Franc-Comtoises, facteurs induisant le développement de Saprolégniose et mortalité des salmonidés.

Je me fais le relai de Didier Pruneau avec cet article ci-dessous. Bonne lecture.

En 2015, j’ai écrit un article qui impliquait l’épandage de lisier et la charge azotée en résultant, comme cause majeure du développement du champignon Saprolegnia parasitica chez la truite et l’ombre dans les rivières Loue, Doubs, Cusancin, et Dessoubre. Dix ans après, je souhaitais faire un point sur les données scientifiques nouvelles permettant de comprendre un peu mieux les causes d’infection par Saprolegnia parasitica, maladie fongique qui loin d’avoir diminuée continue de faire des ravages dans les rivières karstiques de Franche-Comté.
Il est aujourd’hui établi que le développement de l’oomycète Saprolegnia parasitica est systématiquement associé à la mortalité des truites et ombres des rivières de Franche-Comté (par ex. Loue, Doubs, Cusancin, et Dessoubre). Ce champignon naturellement présent dans les cours d’eau attaque généralement des poissons affaiblis physiquement et immunologiquement. Ainsi, la fraie conduit à des abrasions de la peau favorisant l’infection fongique et entraine une baisse de l’immunité. Mais hélas en Franche-Comté, la mortalité se poursuit bien au-delà de cette période et des poissons malades peuvent être observés toute l’année avec toutefois, un pic entre janvier et avril. Plusieurs études ont été conduites visant à déterminer les causes de la dégradation écologique de la Loue et du Doubs. Les conclusions d’un travail important conduit par PM Badot et F Degiorgi (Université de Besançon) sur la Loue de 2012 à 2018 sont les suivantes :

« Les dysfonctionnements écologiques mis en évidence dans la Loue sont induits principalement par les causes suivantes:

1. Les excès d'azote dans les milieux aquatiques et l'accroissement des teneurs en bicarbonates sont la conséquence de l'intensification des pratiques agricoles.
2. Les contaminations multiples par des produits phytosanitaires, des biocides et les substances actives issues des médicaments vétérinaires sont elles aussi en partie liées à l'intensification de l'agriculture.
3. Une part sans doute non négligeable de ces contaminations trouve aussi son origine au sein de la filière bois par le biais des traitements des grumes en forêt et en scierie, mais aussi dans les utilisations domestiques (insecticides en poudre, en aérosol, biocides en tout genre, produits de traitement des bois d’œuvre...).
4. La collecte et le traitement des eaux usées ne sont pas impliqués au premier chef dans les contaminations azotées mais présentent des marges de progression pour réduire leurs contributions aux apports de substances toxiques et de bouffées de phosphore dans les cours d'eau.
5. Une contamination par des concentrations parfois très élevées d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) lourds non solubles existe à l’échelle du bassin versant dans les différents types de prélèvements analysés et notamment dans les particules fines (sédiments et matières en suspension).
6. La nature karstique du substratum et le positionnement en tête de bassin accroît la vulnérabilité des cours d'eau, vis à vis des contaminants chimiques qui peuvent être transférés des sols vers les eaux et transportés très rapidement au sein des masses d'eau.
7. Les modifications physiques des cours d'eau et les altérations de la végétation de bordure – réduite et artificialisée – dégradent les habitats des poissons et des communautés vivant au fond et constituent des facteurs aggravants. »
Selon PM Badot en 2020: « Les quantités d’effluents d’élevage épandus sur les prairies ont augmenté car la productivité du troupeau s’est améliorée : de 4000 kg/an de lait par vache en 1960 à 7000 kg/an au début des années 2000. Cela s’accompagne aussi d’un recours plus important aux engrais. Des épandages qui ne tiennent pas encore assez compte de la nature du sol. Quand il est superficiel, c’est-à-dire peu épais, ou quand la végétation, c’est à dire l’herbe n’est pas en croissance active pendant l’automne et l’hiver, ces intrants ne sont pas assez assimilés et se retrouvent dans la rivière. D’où le constat d’un excès d’azote dans les milieux aquatiques, qui favorisent les croissances végétales dans la rivière. ». « La pratique revient à fertiliser, engraisser la rivière et pas la prairie ».

Le projet NUTRI-karst d’une durée de cinq ans et terminé en 2024 avait pour objectif de comprendre l’impact des activités humaines sur les transferts d’eau et de nutriments dans les bassins karstiques du massif du Jura. S’il est difficile de résumer l’ensemble des données collectées du fait de leur nombre et complexité, une des principales conclusions est rapportée ci-après :
« Dans un contexte où une intensification des sécheresses estivales est attendue, les perspectives portent alors vers une augmentation de l’intensité du lessivage de l’azote si rien n’est fait pour en diminuer les apports. Aussi, il apparait donc plus que nécessaire de redoubler d’efforts sur la réduction des apports de nutriments, du fait de l’influence des sécheresses sur la mobilisation et le transfert d’azote vers les eaux ; notamment dans un contexte de réchauffement climatique qui risque d’accentuer le risque d’eutrophisation des cours d’eau. » J’avais précédemment évoqué il y a dix ans le rôle potentiel de la charge azotée (en particulier la forme ammoniacale del’azote) dans le développement de Saprolegnia parasitica, sans exclure d’autres sources de pollution renforçant l’affaiblissement des poissons. Que sait-on de nouveau ?
Rien, si l’on considère que la grand majorité des études conduites sur la saprolégniose visent à étudier des inhibiteurs de cette maladie dans le but de protéger l’aquaculture. Signalons toutefois une étude récente (Pavic et al., 2022) rapportant une méthode rapide, sensible et spécifique permettant de mesurer la distribution et la prévalence de S. parasitica dans l’environnement, notamment dans l’eau des rivières. Cette méthode utilise la technique de « droplet digital PCR (ddPCR) », technique maitrisée dans la majorité des laboratoires. Les chercheurs ont ainsi montré que S. parasitica était largement et naturellement présent dans les rivières de Croatie. Par ailleurs, ils ont montré que le taux de S. parasitica dans l’eau augmentait avec la conductivité électrique. Or, l’augmentation de conductivité électrique est largement documentée dans les rivières de milieu karstique telles que la Loue, où elle est progressivement passée de 250 µs/cm dans les années 70 à 470 µs/cm en 2014 (Conseil Scientifique du comité de Bassin Rhône-Méditerranée, 2015). Ceci résulte de l’augmentation des taux de calcium et bicarbonates dans l’eau. Il a aussi été observé que S. parasitica était présente sur la peau des truites mais que les taux étaient largement augmentés sur la peau comportant des lésions, ceci étant cohérent avec la mortalité post-fraie. Enfin, les taux de nitrates ne semblent pas influer sur les concentrations de S. parasitica.

En conclusion, plusieurs études confirment, s’il en était besoin, que l’état écologique des rivières de Franche-Comté s’est fortement dégradé du fait des activités anthropiques. L’excès de charge azotée est essentiellement du aux activités agricoles en particulier l’élevage bovin. Ceci est largement documenté dans les études menées depuis 2010. Les seuls éléments nouveaux concernant S. parasitica par rapport à l’étude que j’avais produite en 2015 sont la possibilité de mesurer de façon fiable les taux de cet oomycète dans l’environnement, et la démonstration que la conductivité électrique est corrélée avec les taux de S. parasitica dans les rivières. A ma connaissance, rien de nouveau n’a été, hélas, publié pour ce qui concerne le ou les éléments présents dans l’eau susceptibles d’entrainer et/ou potentialiser l’infection par S. parasitica.
Enfin, j’ajoute que les méthodes d’épandage de lisier se modifient avec l’abandon de la buse-palette (projection aérienne en éventail) au profit de matériel de type pendillards ou enfouisseurs/injecteurs. L’épandage classique par buse-palette entraine jusqu’à 50% de perte de l’azote ammoniacal par évaporation. Le matériel de type pendillards et le matériel de type enfouisseurs réduisent respectivement de 30 à 55% et de 60 à 95% l’émission d’ammoniaque (NH3). Ainsi, la quantité de NH3 dans le sol pour un même volume de lisier épandu va-t-elle considérablement augmenter…et, par conséquent, l’impact sur nos rivières.
Didier Pruneau, 5 mars 2025

Sources :
Étude de l’état de santé des rivières karstiques en relation avec les pressions anthropiques sur leurs bassins versants -François Degiorgi, Pierre-Marie Badot. Laboratoire Chrono-environnement - CNRS - UFC (UMR 6249). 2020, pp.47 https://hal.science/hal-04764319v1
L’état de la Loue : Avis sur les Recherches et les Etudes en cours menées sur la rivière et son bassin versant. Juillet 2015. Conseil Scientifique du Comité de Bassin Rhône-Méditerranée (Président B. Chastan).
NUTRI-Karst : Charlier J-B, Tourenne D, Hévin G, Desprats J-F. Réponse des agro-hydro-systèmes du Jura face au changement climatique et aux activités anthropiques. Rapport final de la Tâche 1. BRGM/RP-72229-FR, Version 1 du 18 novembre 2022.
Pavic D, Grbin D, Hudina S, Prosenc Zmrzljac U, Miljanovic A, Kosir R, Varga F, Curko J, Marcic Z, Bielen A. Tracing the oomycete pathogen Saprolegnia parasitica in aquaculture and the environment. Scientific Reports. 12, 16646, 2022.

samedi 15 février 2025

Merci aux fidèles.

<p>Hier soir s'est déroulée l'assemblée générale de notre AAPPMA. Un peu plus de 10% des actifs étaient présents ce qui, si j'en crois les chiffres d'autres AG, est très bien. Cette année les absents avaient des circonstances atténuantes avec cette soirée habituellement consacrée aux amoureux.</p>

<p>Nous avons eu le privilège d'avoir avec nous, en plus de Bernard notre vice-président, deux autres représentants de la fédération départementale. La présence de Pascal Grenier et Roland Brunet a été très appréciée.&nbsp;</p>

<p>L'AAPPMA que cela soit au niveau des cartes vendues et donc des finances est à l'équilibre avec cette nouvelle qui nous fait plaisir car nous avons 21 cartes majeures de plus qu'en 2023. Cela nous conforte dans nos actions. Merci.</p>

<p>Côté corvées des choses ont déjà été faites au cour de l'hiver. D'autres viendront dans les prochains jours de façon ciblée.</p>

<p>L'AAPPMA a le plaisir de voir un tout nouveau garde de pêche entrer en activité dès cette ouverture 2025. Une présence indispensable. Merci Jean-Pierre.</p>

<p>Un grand merci à notre président fédéral pour ses nombreux éclaircissements sur les dossiers en cours au niveau départemental et national.</p>

<p>Merci appuyé aux présents qui font l'effort du déplacement car l'engagement bénévole dans les AAPPMA, ce n'est pas un "like" sur une vidéo sur les réseaux sociaux, non, c'est du présentiel.</p>

<p><a class="media-link" href="/public/Divers/AAPPMA/2025/AG_2025.jpg"><img alt="" class="media" src="/public/Divers/AAPPMA/2025/.AG_2025_m.jpg" style="{figureStyle}" /></a></p>

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