Hé oui, je suis très traditionaliste. Le 30 septembre, j'essaie dans la mesure du possible de faire la fermeture sur la franco-suisse. Parfois Goumois, parfois plus en amont. C'est année, j'avais coché un parcours où je n'avais pas mis les pieds depuis 24 ans. Une éternité. Merci à Michel et Patrice pour leurs informations.

La vallée du Doubs est toujours aussi magique. Aussi belle que le fond de la rivière est laid. Mais malheureusement, ceci est un mal francomtois que l'on retrouve sur toutes nos rivières. Je n'étais donc pas surpris. Mais c'est ce qu'il vient à l'idée, c'est que l'on fini par s'habituer à voir cela. C'est terrible comme sentiment.

Je suis arrivé assez tôt vendredi pour commencer à pêcher finalement assez tard, soit en fin de matinée une fois que la lumière me le permettait. Impossible de se faire une idée sur la population pisicicole en une journée, mais j'avoue avoir vu très peu de truite. La faute certaiment aussi à une belle présence de pêcheurs, nous étions très nombreux à avoir eu la même idée. J'ai d'ailleurs passé pas mal de temps avec un pêcheur suisse avec qui nous avons bien discuté. Au plaisir de te revoir si jamais tu me lis.

Pour l'action de pêche proprement dite, j'ai passé un peu de temps à pêcher les ombres, chose dont je suis privé chez moi car interdit. Par endroit, ils étaient en nombre avec une présence de différentes classes d'âge. Ce qui reste positif. J'ai vu pas mal de petits individus.

Une belle journée où j'ai pas mal discuté (encore longtemps sur le parking en partant ;-) ) peu pêché et profité à fond de cette vallée qui reste magique malgré tout les maux qui la touchent. Je reviendrais.

Ombre pris à vue.

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La vallée du Doubs franco-suisse.

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Ses herbiers...

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Juste à profiter.

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Quand les mailles se mêlent aux écailles.

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